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Dans le précédent blogpost, je me penchais sur les tendances clés auxquelles font face les entreprises du secteur ingénierie, construction & infrastructures : la transformation digitale, le BIM, le modèle de cycle de vie des actifs digitaux, l’entrée dans la fabrication intégrée à la construction et l’exploitation des nouveaux revenus des services et de la gestion des infrastructures. La conclusion générale est que les systèmes et processus métier non intégrés qui sont utilisés par la plupart des entreprises aujourd’hui ne seront tout simplement plus suffisants pour être compétitif demain.

Gestion du changement – le rôle crucial des logiciels

À l’ère de la transformation digitale, l’IT passe du rôle d’outil transactionnel à celui d’outil stratégique. Selon Panorama Consulting, la durée de vie moyenne d’un ERP est entre 10 et 13 ans. Dépendre d’un système (ou ensemble de systèmes) peu flexible(s) peut donc s’avérer être un handicap de taille pour les entreprises du secteur de la construction, qui se retrouveront dépassées par les innovations et incapables de les adopter.

Voici trois questions à ses poser lorsque l’on souhaite évaluer un logiciel d’entreprise :

L’éditeur est-il un spécialiste des ERP et des outils de gestion des actifs (EAM) dédiés au secteur de la construction ?

Beaucoup d’éditeurs proposent une plateforme applicative unique pour presque tous les secteurs d’activité. Cette approche crée souvent des forces et des faiblesses significatives. Une solution conçue pour gérer l’ERP dans l’environnement métier de la fabrication manufacturière, typiquement, ne sera pas adaptée lorsqu’il s’agira de gérer les flux d’information dans les phases de construction et de gestion des actifs.

Il est important d’évaluer le niveau d’expérience que possède l’éditeur dans le secteur ingénierie, construction & infrastructures. Aucune entreprise ne ressemble à une autre, mais le savoir-faire sectoriel peut aller très loin. Un éditeur expérimenté peut déjà avoir les réponses aux problèmes auxquels vous faîtes face.

IFS travaille avec les leaders de l’ingénierie, de la construction et des infrastructures, dont Clancy Docwra, Multiplex et VBMS, filiale de VolkerWessels. IFS vient d’être nommé parmi les « 10 Best Construction Tech Solution Providers 2018 » par le magazine Insight Success, en raison de son rôle et de celui de ses solutions logicielles dans la modernisation du monde de la construction.

La solution fournit-elle l’agilité nécessaire pour s’adapter aux nouveaux business models ?

Le secteur de l’ingénierie, de la construction et des infrastructures change. L’indice statistique Price Index (PPI) Material Inputs  montre que les coûts de la construction (hors coût de la main d’œuvre) ont augmenté de 4,2% en 2017. Avec l’augmentation croissante de la demande et de l’incertitude liée aux tarifs et aux taux d’importations internationales, la hausse des coûts devrait ralentir. Parallèlement, la pénurie de main d’œuvre due au vieillissement des travailleurs et au manque d’attractivité perçu du secteur a fait que les salaires horaires ont dépassé l’inflation dans beaucoup de pays. Cette tendance impacte aussi bien les budgets que les délais des projets.

Pour répondre à ces challenges et en tirer parti, les entreprises du secteur de la construction sont de plus en plus nombreuses à adopter les technologies digitales telles que le BIM, la robotique, les drones, les scanners laser, l’IA, la construction modulaire et l’impression 3D.

Mais ces nouvelles technologies ne peuvent être exploitées et générer des revenus si l’entreprise est freinée par des logiciels rigides. C’est pourquoi IFS propose une suite complète d’applications d’entreprise qui sont conçues pour – et parfois par – des entreprises du secteur, avec des fonctionnalités supplémentaires telles que la gestion de projet pour un meilleur contrôle métier complet, ou la fabrication pour simplifier la transition vers la construction modulaire.

Pouvez-vous visualiser et analyser les performances métiers sous tous les angles ?

Ajouter rapidement de nouvelles fonctionnalités peut faire la différence entre la survie et la disparition. Mais les entreprises des secteurs de l’ingénierie, de la construction et des infrastructures sont structurellement complexes. Utiliser les dernières technologies pour un aspect métier en particulier ne sert à rien si vous ne pouvez améliorer la performance dans l’ensemble de l’entreprise. Et lorsque l’on prend en compte différentes régions avec des particularités locales, il est encore plus difficile de parvenir à une quelconque homogénéité.

Utiliser une solution unique en tant que référentiel pour toutes les données métier est la première étape pour maîtriser les fonctions de reporting. C’est à cette condition que ces entreprises obtiendront le niveau de visibilité nécessaire pour améliorer la transparence et le contrôle des projets. Par exemple, les équipes en charge de la comptabilité et de la finance peuvent travailler plus étroitement avec les équipes de projet lorsqu’IFS Applications est le système central. Avec la suppression des processus manuels tels que les feuilles de calcul Excel, ce sont tous les domaines de l’entreprise qui en bénéficient.

Ce ne sont là que quelques-unes des questions à se poser lorsque l’on évalue un logiciel d’entreprise destiné à gérer les changements dans l’ingénierie, la construction et les infrastructures. Vous trouverez davantage de questions dans cette infographie.


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